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samedi 1 mars 2014

VAUJOURS : Suite du feuilleton



Dans cet épisode :


  •  Le communiqué de la CRIIRAD
  • La réaction du collectif sauvons la Dhuis
  • Le communiqué d'EELV

1°) Le communiqué de la CRIIRAD





2°) La réaction du collectif "sauvons la Dhuis"


3°) Le communiqué d'EELV
"Un fragment radioactif à 70 fois la norme sur un site déclaré sain par l'IRSN

Les mesures prises, par la Criraad , l'IRSN, l'ACRO, sous la houlette de l'ASN, hier après-midi au fort de Vaujours en présence des représentants des préfectures du 77 et 93, ainsi que de journalistes, sont sans appel. Un fragment tombé d'un point chaud, révèle une teneur en radioactivité,70 fois supérieure à la norme.

Lors des contrôles du 6 février en présence d'élus locaux, où EELV, n'avait pas été invité, il n'avait été rien trouvé à ce même endroit. Mr Popelin avait alors déclaré sur son facebook : "je n'ai pas été exposé à des doses de radioactivité anormales." À sa place, nous serions inquiets.

Nous nous demandons comment nous pouvons faire confiance à cet industriel du plâtre pour décontaminer un site, si dans le même temps, ils ne sont pas capables de faire effectuer des études sérieuses sur des points chauds déjà identifiés depuis de nombreuses années.

De même, il nous paraît opportun que quand placoplatre organise ses petites visites dans le but de décridibiliser le collectif sauvons la Dhuis ou Eelv, qu'ils signalent au visiteurs de ne pas respirer trop fort ou mieux de leur donner des masques protecteurs afin d'éviter toutes contaminations par inhalation.

Nous voulons rappeler que les 45 hectares du site sont potentiellement contaminés, et que l'événement d'hier ne fait que renforcer notre volonté pour demander des servitudes complémentaires, concernant par exemple, le démantèlement des casemates, et un moratoire sur le projet d'ouverture d'une carrière à ciel ouvert sur ce site.

De même, nous souhaitons qu'il soit inclut dans le contrat de filière à conclure entre l'état, par l'intermédiaire du ministère du redressement productif, et les compagnies d'extraction de ressources naturelles, des clauses qui garantissent, pour moitié, la provenance de matières premières issues d'une filière globale de recyclage.

Ainsi, nous pourrions diminuer la pression sur les ressources naturelles, éviter la création de nouveaux sites d'enfouissement de déchets, créer des emplois durables, et, dans le cas de Vaujours, protéger les riverains et les éventuels sous-traitants, de risques avérés de contamination par ingestion ou inhalation d'uranium, de métaux lourds et de produits chimiques."

et en cadeau l'article du Parisien.









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