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jeudi 11 octobre 2018

Pour un arrêt immédiat des travaux de la Forêt de la Corniche des Forts.


Photo : Bagnolet en vert


Un rassemblement est prévu ce dimanche à 15H à la Sapinière (98 avenue du Colonel Fabien à Romainville - Métro Raymond Queneau sur la ligne 5 ou les Lilas puis bus 129 ou 105) pour tenter de sauver ce qui peut l'être encore et exiger la protection des 20 hectares restants (c'est indiqué sur les plaquettes du Syndicat Mixte mais aucune mesure de protection concrète n'a été prise). La Région s'est engagée à avancer en ce sens oralement mais certains élus locaux s'y opposent encore ...
 





Pour suivre les actions des écologistes s'opposant à ce massacre voir :







Sans oublier l'article de Reporterre.





Pour finir cette petite vidéo montrant la Forêt de la Corniche des Forts avant le massacre.





samedi 6 octobre 2018

Sombre perspective pour la recherche sur les problèmes posés  par le rayonnement dû à la téléphonie mobile 


Communiqué de presse du 2 octobre 2018 de l'association P.R.I.A.R.T.EM:  

Ondes et santé : qui a peur de la recherche indépendante ?

La suppression de la taxe parafiscale dédiée au financement des mesures des niveaux d’expositions et à celui des recherches sur les radiofréquences, serait selon nos informations, inscrite dans le projet de loi de Finances qui doit être débattu à l’Assemblée Nationale dans les semaines qui viennent. Si cette suppression est actée, il s’agira d’un cadeau de plus fait aux opérateurs après celui lié au renouvellement de leur licence (accord Gouvernement/ARCEP/Opérateurs) et il s’agira « en même temps » d’un très mauvais coup porté au dossier « ondes et santé ».

Cette taxe parafiscale a été créée en 2010, suite au Grenelle des ondes qui avait conclu qu’il fallait instituer un sas vertueux entre le pilotage des mesures d’exposition, d’une part, des orientations de recherche, d’autre part, et leur financement par les opérateurs. C’est ainsi que la gestion d’une partie du fond perçu, celle dédiée aux mesures, a été attribuée à l’ANFR, l’ANSES récupérant la partie dédiée à la recherche.

Il faut ajouter que les montants fixés, - 7 millions d’euros à la création de la taxe - constituaient, pour les opérateurs une contribution très modique mais ils répondaient, fort justement, au principe du « pollueur/payeur » auquel PRIARTEM est très attachée.
Malgré ce caractère modique au regard des chiffres d’affaires des opérateurs, cette taxe a permis, depuis sa création, que ni les campagnes de mesures, ni les appels à projets de recherche ne soient freinés par des limites financières trop drastiques.

Et bien c’est ce processus vertueux que le gouvernement veut supprimer.
« Alors, bien sûr, comme c’est souvent le cas, il va nous être proposé, dans un premier temps des mesures compensatoires prises sur le budget de l’Etat, souligne Janine LE CALVEZ, Vice-Présidente de PRIARTEM. Mais cette option ne peut nous satisfaire. D’abord elle dédouanerait les opérateurs-pollueurs d’être les contributeurs à l’effort de connaissance et de recherche en faisant porter l’effort sur les contribuables. »

" En outre, poursuit Sophie PELLETIER, Présidente de PRIARTEM rien ne nous garantit d'une pérennité au-delà de la première année car cet effort budgétaire sera nécessairement soumis aux aléas des arbitrages politiques. Vu le contexte, cela serait la mort annoncée, à petit feu, de la recherche publique française sur l'impact des ondes sur la santé. Au moment où les usages explosent, notamment chez les jeunes, et où la reconnaissance des effets progresse à grands pas, c'est d'un cynisme sidérant ».

PRIARTEM va saisir les députés afin qu’une correction puisse être apportée à la loi de finances et que soit rétablie la taxe visée et même que son assiette soit élargie. Seule une stabilité des financements de la recherche peut permettre un développement des équipes de recherche indépendantes sur ce domaine d'intérêt majeur pour la santé publique.

Contact presse :
PRIARTEM : 01 42 47 81 54


jeudi 4 octobre 2018

5 octobre 2018 premiers rassemblements du mouvement "nous voulons des coquelicots"


NOUS VOULONS DES COQUELICOTS

Les pesticides sont des poisons et ils sont vendus comme tels. 

Les multinationales n’ont de cesse d’inventer celui qui tuera le plus d’insectes et de plantes, celui qui polluera le plus l’air et l’eau, celui qui contaminera le plus la faune et les aliments que les humains consomment. La course folle à l’écocide semble ne devoir jamais s’arrêter.
 Pour une molécule tueuse, que la société civile parvient, après des années de combats, à faire interdire, dix nouveaux produits arrivent sur le marché (lire ici). 

Toutes les tentatives pour réguler l’utilisation morbide de ces poisons se sont heurtées aux lobbies des fabricants de mort. Malgré les études, les rapports, les compilations scientifiques qui révèlent les conséquences dramatiques de l’utilisation des pesticides, fongicides et autres insecticides par l’agrobusiness, aucun gouvernement n’a osé prendre les décisions qui s’imposent.

 La multiplication des cancers, notamment chez l’enfant, l’augmentation des maladies liées aux perturbateurs endocriniens, la perte de la biodiversité n’inquiètent pas nos dirigeants. Il n’est plus besoin d’être naturaliste ou scientifique pour constater la disparition des insectes (moins 50%) celle des oiseaux (moins 1/3). Où sont passés les coquelicots dans les champs ? Les transnationales des pesticides voudraient nous faire croire que leurs poisons sélectionnent le vivant à détruire pour le bien des humains, mais leurs produits se retrouvent partout dans l’eau, dans les poissons des profondeurs, dans les cordons ombilicaux des fœtus…

 Il faut que ce désastre s’arrête.

Pour en finir avec le modèle dévastateur de l’agrobusiness, l’épuisement des sols et des ressources naturelles, tournons-nous vers l’agriculture traditionnelle qui a nourri la planète durant plusieurs millénaires. Des techniques respectant l’écosystème sont aptes à satisfaire les besoins en nourriture des 9 milliards d’individus que comptera la planète en 2100 pour peu que l’on relocalise les productions et que l’on respecte le travail des paysans.

Le 12 septembre 2018, un groupe emmené par Fabrice Nicolino et François Veillerette a lancé l’appel «NOUS VOULONS DES COQUELICOTS » pour exiger l’interdiction de tous les pesticides de synthèse, à ce jour 238 000 personnes ont répondu présent.
 « NOUS VOULONS DES COQUELICOTS» demande aux amoureux des coquelicots de s’organiser pour interpeller nos dirigeants.

ENDEMA93 s’associe pleinement à cette action et organise un rassemblement
vendredi 5 octobre 2018 à 18h30 à la gare du Raincy - Villemomble – Montfermeil
Cette opération sera renouvelée tous les premiers vendredis de chaque mois.

DEMANDONS TOUS ENSEMBLE L’INTERDICTION DES PESTICIDES


http://editionslesliensquiliberent-blog.fr/video-coquelicots-nicolino-veillerette

 Sur le département de Seine Saint Denis plusieurs autres initiatives sont programmées pour ce premier jour d'action. A Saint Denis, Montreuil, Les Lilas et Bagnolet par exemple.
Pour en savoir plus.


dimanche 30 septembre 2018

Présentation du projet concernant la place de la Division Leclerc

Pour info.

Nous étions présents lors de la réunion de concertation. En lisant le document de présentation il nous semble que plusieurs de nos demandes et remarques aient été retenues (végétalisation, piétonisation..).



mardi 11 septembre 2018

DANGER pour la forêt de la corniche des forts à Romainville



Les amis de la corniche des forts viennent de publier cette affiche.
 

Nous vous invitons à signer la pétition.


Pour celles et ceux qui manquent d'informations sur le sujet nous vous proposons de lire le dossier suivant sur le blog Bagnolet en vert.


En bonus, un texte de Fabrice Nicolino sur le sujet datant de 2012. 


Profitez en pour admirer les photos dans les autres articles.


dimanche 9 septembre 2018

Nouvelle étude d'aménagement sur le secteur du garage municipal et de l'ancien lavoir.




Appel à la vigilance sur le secteur sud du centre ville. 
Une étude d'aménagement est demandée par la mairie, elle concerne, en particulier le garage municipal.

- objectif 2, dit " étude de programmation sur le " garage municipal " : réalisation d'une étude de programmation sur les parcelles ville (voir ci-après " zoom sur le garage municipal "), comprenant une importante phase de concertation et des propositions concrètes en matière de montage de projet, " co-construit " avec les habitants et les éventuels usagers.
Aucune allusion à l'ancien lavoir dans le texte mais il se trouve dans la zone d'étude.

Ce qui nous interpelle c'est aussi la somme proposée. Elle est juste en dessous de la valeur légale pour être votée au conseil municipal. Pas de chance, les élu-e-s ne pourront pas donner leur avis.
Nous vous laissons découvrir le texte complet de l'annonce en suivant le lien suivant.