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mercredi 5 mars 2014

ELECTIONS MUNICIPALES : Aujourd'hui parlons d''eau



Après Priartem et Anticor nous laissons la parole au collectif EAU EST ENSEMBLE

Art Activisme pour interpeller les candidats à Est Ensemble




Deux gouttes d’eau se disputent les marchés d’Est Ensemble.
L’une, bleue et propre, est l’eau publique qui vient de Paris . Elle coûte environ 3€/m3
L’autre, plus chère (environ 4€m3) et un peu polluée, vient de la multinationale Veolia : c’est l’actuelle titulaire du marché de l’eau.
En tournée dans les rue de la communauté d’agglomération jusqu’aux élections, les deux gouttes sont en compétition pour rentrer dans les robinets des habitants de la communauté d’agglomération, qu’elles essayent de charmer avec des vrais et faux arguments…
Ce gouttes sont mises en scène par le collectif d’art activistes S-eau-S Ile-de-France, mobilisé pour une gestion publique de l’eau en région parisienne.>>>en savoir+
Les gouttes promettent de revenir après les élections, pour interpeller les nouveaux élus sur ce dossier qui sera traité en début de mandat…

URGENT // Pétition contre le retour du Maïs OGM MON810 en France !



L'association "Agir pour l'environnement" lance une nouvelle pétition contre  l'OGM MON810.
Voici son communiqué.
"Cher-es ami-es,

Malgré l’opposition d’une immense majorité de citoyens européens, la Commission européenne prévoit de renouveler l’autorisation de cultiver le maïs OGM MON810 en Europe !

> SIGNEZ la pétition contre le retour du Maïs OGM MON810 ! : http://ogm-nonmerci.fr/

La France envisage de prendre un nouvel arrêté interdisant la culture des différentes variétés de MON810 sur son territoire, mais fait précéder cette éventuelle décision d’une « consultation du public » jusqu’au 9 mars.

En l’absence d’arrêté, la culture de maïs OGM serait possible en France, ce qui aurait des conséquences particulièrement dramatiques :
  • pour l’environnement, car les études indépendantes montrent que cet OGM conduit à l’apparition de résistances chez les insectes visés, et à une mortalité importante chez d’autres lépidoptères ;
  • pour les apiculteurs, qui ne pourront plus garantir l’absence d’OGM dans leur miel et leur pollen ;
  • pour les agriculteurs biologiques, qui risquent une contamination de voisinage ;
  • et pour les paysans utilisant des « maïs population » en sélection paysanne, qui risquent également une contamination et la ruine de tout leur travail de sélection.
Si vous ne voulez pas de cultures OGM dans les champs, participez massivement à cette consultation en envoyant ce courriel avant le 9 mars, de façon à obliger le gouvernement à respecter ses engagements.

OGM, non merci !"

samedi 1 mars 2014

VAUJOURS : Suite du feuilleton



Dans cet épisode :


  •  Le communiqué de la CRIIRAD
  • La réaction du collectif sauvons la Dhuis
  • Le communiqué d'EELV

1°) Le communiqué de la CRIIRAD





2°) La réaction du collectif "sauvons la Dhuis"


3°) Le communiqué d'EELV
"Un fragment radioactif à 70 fois la norme sur un site déclaré sain par l'IRSN

Les mesures prises, par la Criraad , l'IRSN, l'ACRO, sous la houlette de l'ASN, hier après-midi au fort de Vaujours en présence des représentants des préfectures du 77 et 93, ainsi que de journalistes, sont sans appel. Un fragment tombé d'un point chaud, révèle une teneur en radioactivité,70 fois supérieure à la norme.

Lors des contrôles du 6 février en présence d'élus locaux, où EELV, n'avait pas été invité, il n'avait été rien trouvé à ce même endroit. Mr Popelin avait alors déclaré sur son facebook : "je n'ai pas été exposé à des doses de radioactivité anormales." À sa place, nous serions inquiets.

Nous nous demandons comment nous pouvons faire confiance à cet industriel du plâtre pour décontaminer un site, si dans le même temps, ils ne sont pas capables de faire effectuer des études sérieuses sur des points chauds déjà identifiés depuis de nombreuses années.

De même, il nous paraît opportun que quand placoplatre organise ses petites visites dans le but de décridibiliser le collectif sauvons la Dhuis ou Eelv, qu'ils signalent au visiteurs de ne pas respirer trop fort ou mieux de leur donner des masques protecteurs afin d'éviter toutes contaminations par inhalation.

Nous voulons rappeler que les 45 hectares du site sont potentiellement contaminés, et que l'événement d'hier ne fait que renforcer notre volonté pour demander des servitudes complémentaires, concernant par exemple, le démantèlement des casemates, et un moratoire sur le projet d'ouverture d'une carrière à ciel ouvert sur ce site.

De même, nous souhaitons qu'il soit inclut dans le contrat de filière à conclure entre l'état, par l'intermédiaire du ministère du redressement productif, et les compagnies d'extraction de ressources naturelles, des clauses qui garantissent, pour moitié, la provenance de matières premières issues d'une filière globale de recyclage.

Ainsi, nous pourrions diminuer la pression sur les ressources naturelles, éviter la création de nouveaux sites d'enfouissement de déchets, créer des emplois durables, et, dans le cas de Vaujours, protéger les riverains et les éventuels sous-traitants, de risques avérés de contamination par ingestion ou inhalation d'uranium, de métaux lourds et de produits chimiques."

et en cadeau l'article du Parisien.