L’entreprise groupe ADP (Aéroports
de Paris) doit-elle être privatisée ou rester - mieux qu’aujourd’hui - un bien
commun, une propriété publique ?
Avec ce clic, vous donnerez aux Français la
possibilité d'en décider démocratiquement, par référendum.
ADP, ce n’est pas seulement des magasins
Duty Free et des pistes d’envol ; ce sont en plus d’immenses
terrains totalisant 6 700 hectares soit l’équivalent de ⅔ de la surface de
la Ville de Paris sur lesquels l’acheteur privé pourrait, hélas, construire des
milliers de bâtiments.
Ce serait la plus grosse privatisation française de
l’histoire - la troisième au monde, et aucune privatisation d’aéroport au
monde n’a jamais inclus tant de milliers d’hectares constructibles n’ayant rien
à voir avec l’activité d’un aéroport.
L’enjeu est directement et d’abord écologique, la lutte contre le
réchauffement climatique est une urgence vitale :
- Nous voulons pouvoir faire le choix de planifier nos transports et de limiter par exemple les vols intérieurs quand ils sont substituables en train, ce que la privatisation rendra presque impossible.
- Nous voulons être les acteurs d'un engagement écologique pour empêcher la bétonisation de ces milliers d’hectares et y développer des forêts, des arbres et tout autre aménagement respectueux de l'environnement.
L’enjeu est stratégique pour le tourisme en France, pour la survie d’une compagnie
historique Air France, pour les Français d’outre-mer et de l’étranger afin de
garder des vols directs vers la France métropolitaine. Si l’entreprise qui
achète ADP possède aussi l’aéroport d’Amsterdam, elle pourra décider de
transférer vers celle-ci une grande partie, voire la totalité de ses vols
transcontinentaux.
L’enjeu est économique, car ADP rapporte aux Français près
de 200 millions d’euros de dividendes
chaque année. Ces recettes, en parties payées par les étrangers et
les Français usagers de l’avion, seraient désormais imposées à tous les
contribuables français, dont la majorité ne prend pas l’avion. Les actionnaires
minoritaires actuels seront également indemnisés financièrement à hauteur
d'un milliard d'euros au total.
L’enjeu est démocratique et constitutionnel, l’occasion nous est donnée d’exercer
notre droit de décider, de reprendre ou perdre le contrôle d’un bien commun.
C'est aux citoyens de se mobiliser pour répondre à ces enjeux essentiels et
décider du sort d'Aéroports de Paris. De plus, privatiser est aussi
probablement anti-constitutionnel
Signez, et partagez ce texte autour de vous !
Rendez-vous sur le site officiel pour apporter votre soutien, sous contrôle du Conseil Constitutionnel.
Rendez-vous sur le site officiel pour apporter votre soutien, sous contrôle du Conseil Constitutionnel.
Et si vous
rencontrez des difficultés pour signer, pas d'inquiétude ! Voici quelques
conseils :
- Pas de virgule entre vos prénoms, juste un espace.
- Majuscule aux prénoms.
- Ne renseignez pas de code postal, renseignez directement le nom votre ville (de vote puis de naissance) en toutes lettres. Le site vous proposera des villes juste en dessous, cliquez sur le choix qui vous correspond.
- Recopiez les informations d'état civil présentes sur votre dernière carte électorale.
- Utilisez uniquement votre nom de naissance.
- En cas d'erreur 404 ou de page « maintenance », réactualisez.
- En cas d'erreur ou de diffculté avec le code de vérification, cliquez sur « Autre image » et persévérez.
- Enregistrez précieusement et n'égarez pas votre récépissé, il pourra être utile plus tard (pour savoir si votre soutien a bien été accepté, faire une réclamation ou un recours) !
Vous pouvez également vous rendre dans une des mairies des communes les
plus peuplées de votre canton, présentes sur la carte adprip.fr pour déposer un soutien papier
(cliquez sur les cercles bleus). Le CERFA correspondant et pouvant être
complété sur ordinateur avant impression est disponible ici.
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